top of page

Margaux D.
Arts visuels

Un voyage sans retour, hommage à Pippa Bacca 

2025, plâtre, fil de coton rouge, escarpin, 23 x 9 x 4,5 cm
Ce projet sculptural conceptuel rend hommage à l’artiste italienne Pippa Bacca et interroge les notions de trace, de rencontre et de féminité. Cette sculpture de pied moulé en plâtre s’inscrit dans un travail mémoriel en écho à la dernière démarche performative de l’artiste en 2008. Cette oeuvre questionne le don de soi, la vulnérabilité et la persistance de la violence faite aux femmes.

Brouillon mentaux

2024, fil de fer, papier, encre de chine, 29 x 16 x 19 cm
Brouillons mentaux sont des sculptures en fil de fer qui évoquent la confusion et le trouble intérieur. À l’instar d’une
sensation de brouillard mental, le fil de fer traduit l’idée
d’oppression et d’enfermement que peuvent générer les pensées.

C'est très vaginale

2025, techniques mixtes, 63x46x9 cm

Inspirée par Anish Kapoor et Chiharu Shiota, C’est très vaginale ! est le fruit d’un processus plastique qui interroge la sexualité et l’intériorité. Sculptée à partir d’une base en bois et enveloppée de bandes de plâtre, cette œuvre renvoie à l’image du cocon. Les bandes de tissu coloré représentent les différentes couches de la peau. Ambivalente dans sa forme, l’œuvre suscite une attraction autant qu’un rejet. Elle soulève des questions sur la féminité et le voyeurisme, et invite à une réflexion sur les rapports sociaux et de pouvoir

Chrysalide

2024, fleurs séchées, latex, 50x9 cm

Chrysalide est une réflexion plastique sur le processus de métamorphose et de passage à l’âge adulte. À travers l’image du cocon, dans lequel se déroule la chrysalidation des chenilles, cette œuvre tisse un langage sensible autour de la mutation.

L’enveloppement en latex, développé à partir des fleurs d’un bouquet, crée une niche organique qui rappelle la forme du cocon. Le système d’installation suspendu par un fil accentue l’idée de nidation et de fragilité, symbolisant à la fois la protection et la transformation

Livret photos nu

2021-2025, impression sur papier, reliure au fil, format A5 14,8 x 21 cm

Cette série explore, à travers l’acte du toucher, la sensualité et le caractère érotique du corps. Entre l’évocation d’un désir et la matérialisation visuelle du toucher, ce travail questionne notre rapport à l’intime et au plaisir. Ce projet au long-court s’inscrit dans le cadre de ma recherche, qui questionne la définition contemporaine de la masculinité. Sous un regard sensible, je souhaite interroger l’identité du corps face à l’imagerie des canons de beauté hérités de l’histoire de l’art occidentale.

Autoportrait

2025, vidéo mp4, 2 minutes

Ce projet d’autoportrait vidéo propose une introspection personnelle, à l’image d’une séance avec un.e psychologue. En l’espace de deux minutes, je me questionne à travers un jeu de miroir entre moi et moi-même.

L’usage du noir et blanc pour les plans fixes face à la caméra évoque une certaine gravité. À l’inverse, la couleur et la répétition des plans en mouvement traduisent les étapes de ma production artistique. À la fois intime et universelle, cette vidéo interroge les questionnements existentiels, ainsi que le passage à l’âge adulte et à la création.

bottom of page